Сравнение экологической ситуации в России и Франции

Автор: Пользователь скрыл имя, 14 Октября 2011 в 21:35, контрольная работа

Описание работы

Я хочу провести работу по сравнению экологического состояния двух стран, а именно России и Франции. По окончании работы я намерен увидеть, какие проблемы объединяют государства, а какие присуще только одной из стран. Сравнить все плюсы и минусы, рассмотреть ведущие проблемы экологии Франции и России и выявить государство с наиболее лучшей средой обитания.
“Природа не храм, а мастерская, и человек в ней – работник.” И. С. Тургенев

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La protection de l'air atmosphérique est un problème clé de l'assainissement dе  l’environnement . L'air atmosphérique occupe la position spéciale parmi d'autres composants de la biosphère. Il est impossible de surestimer sa signification pour la vie sur la Terre. La personne peut exister sans nourriture cinq semaines, sans eau - cinq jours, et sans air seulement cinq minutes. En même temps l'air doit correspondre au certaines normes très définie de la propreté et n'importe quel rejet de la norme présente le danger pour la santé. 
 
 
 
 

  1. en France
 

En 1990 la France a institué le groupe interdépartemental de la coordination des mesures contre les rejets des gaz provocants l’effet de serre. Le but du groupe est d’apporter un certain dépôt dans les efforts de la communauté internationale. N’ayant pas de stocks considérables des ressources énergétiques, la France a pris pour base de sa politique énergétique un vaste programme du développement de l'énergie atomique, qui a engendré à son tour le problème des déchets radioactifs, mais d'autre part pendant 1980-1988 le programme a permis de diminuer d’un tiers des rejets dans l'atmosphère du gaz carbonique.

Le développement du transport automobile empêche le procès de la réduction des rejets, cependant  l'indices des rejets montre que  la France est un pays au plus bas volume des rejets du gaz carbonique parmi les États industriels développés. Elle a accepté la participation active à l'élaboration et à la ratification en 1989 du procès-verbal de Montréal sur les substances détruisants la couche d'ozone, qui prévoyait tout d’abord l'interdiction complète des rejets dans l'atmosphère vers le 1 janvier 2000. La France et ses partenaires européens se sont exprimés pour la réduction de ce délai jusqu'à 1 janvier 1995.

Lors de la pollution de l'environnement locale le nombre des rejets du bioxyde du soufre baisse, cependant le nombre de la pollution de plomb reste à un ancien niveau, et en certaines endroits la concentration d'oxyde d'azote augmente à cause de l'intensification du trafic des automobiles.

L'État doit assurer le plus sévère contrôle technique des  vieilles automobiles, il doit stimuler la liquidation des plus vieilles automobiles, par voie du paiement de la compensation correspondante. Le transport doit avoir les neutralisateurs des gaz d'échappement, obligatoire pour les nouvelles automobiles, de même  les gens doivent se servir de l'essence, qui ne contient pas de plomb. C'est pourquoi à présent les savants étudient les méthodes de l'utilisation  du carburant alternatif, moins polluant  l'atmosphère, tels que le gaz naturel ou liquéfié. Aussi les entreprises ont recommencé la production des automobiles électriques.

Le pays compte près de 1500 entreprises, qui paient l'impôt spécial en proportion de la quantité des rejets polluant l'atmosphère et ces moyens servent a élaborer des stations d'épurations et les moyens de la réduction des rejets, de même qu’à  financer le contrôle de la qualité  de l'air. La France a le système original, qui contrôle le niveau de la pollution de l'air des villes, la France a 30  réseaux automatiques de contrôle, qui signalent immédiatement  l'excès des normes établies. 

La protection de la nature et des paysages : 

  1. en Russie

L'interdiction des territoires est l‘une des mesures les plus effectives de la protection des ensembles naturels de l'intervention étrangère. En Russie les réserves naturelles sont les institutions d'État scientifiques, qui ont le but principal de garder à perpétuité les paysages typiques d'étalon ou les terrains de la nature les plus rares et précieux. Ces terrains sont retirés du circuit économique ordinaire et protégés spécialement, et utilisés pour la tenue des études de plusieurs années de l'année entière scientifiques (souvent selon les sujets liés à la protection des ressources naturelles). Le nombre des réserves naturelles dans notre pays a excédé 100 à leur surface totale à sept  millions et demie d'hectares.

Seulement certains des espèces de l'activité économique peuvent être interdites sur le délai défini ou à perpétuité pour la préservation des objets précieux de la nature sur les territoires séparés, c'est-à-dire on applique la commande. Selon le caractère les ressources protégées peuvent être de chasse, de poisson, ornithologiques, géologiques, botaniques et autres, y compris les paysages, qui poursuivent le but de garder de beaux paysages et les territoires ayant la signification de salubrité. 

Parfois  sur  des petits terrains- les petits bois séparés, les lacs, les parties des vallées ou les côtes - se détachent à titre des réserves protégées.

L'État sous les monuments de la nature a en vue de diverses formations naturelles, des soi-disants objets uniques, qui ont la signification scientifique ou esthétique et exigent le grand soin et la protection. Ces objets témoignent, en général,  vivement et expressivement le passé de la nature, sont ses monuments originaux. Les uns  frappent la personne par la complexité et la bizarrerie de l'extérieur, les autres -par la rareté, la solidité des procès, les troisièmes sont visiblement tout à fait ordinaires, mais ont une grande signification pour la science comme les témoins ou les participants des importants événements dans l'histoire géologique de la planète.

Aussi l'État comme les objets protégés naturels classe le nombre considérable de ce qui présente l'intérêt primordial pour le tourisme. À la différence des réserves naturelles servant pour l'essentiel aux buts scientifiques, les places protégées et les monuments de la nature ont seulement certaines restrictions pour la visite des groupes touristiques et des excursions et dans la plupart des cas sont devenus déjà une importante ressource pour le repos éducatif. 

  1. en France

La variété de la nature de la France s'exprime dans sa richesse du monde végétal et animal. 

Déjà en 1976 dans le pays les pouvoirs ont accepté la loi sur la protection de la nature, mais dès 1982 plus de 14 mille territoires  disposés surtout dans des régions basses ou forestières, ont été apporté  dans la liste "les zones Naturelles de la flore et la faune présentant l'intérêt écologique".

En exécution de la directive de la CE sur le milieu de vie (la directive de Khabitat), qui a été ratifié le 21 mai 1992 et qui concerne la protection des endroits d'habitation des animaux sauvages et des plantes rares, la France complète cette liste initiale. Vers 2004 le réseau "La nature-2000" embrassera toutes les zones présentant un intérêt et assurera l'intégrité de la biovariété au centre de l'Europe.

Cependant pour la protection de certaines espèces animales et des plantes, l'existence dequelles se trouve sous la menace, les gens doivent accepter une série de mesures spéciales. Ainsi, le saumon atlantique, disparu entièrement dans la plupart des rivières commence à apparaître de nouveau grâce à la restitution des frayères, la construction des installations poisson-rendements et l’élevage des alevins. En 1994 le ministre de l'environnement a conclu avec les maires de plusieurs communes un accord sur la protection des ours des Pyrénées existant encore. Aussi les maires prévoient le peuplement progressif des ours dans leurs endroits d'habitat d’origine.

Le but de la nouvelle loi du 8 janvier 1993 est de conserver le paysage et, en plus, de le faire plus attrayant. En particulier il permettra de changer l'extérieur des banlieues, particulièrement sur les approches des villes, assez souvent défiguré par les panneaux publicitaires établis en désordre, les entreprises, les supermarchés, ou, par exemple, dans certaines endroits permettra de cacher sous la terre  les lignes électriques et, dans le plan plus général, permettra de conserver le paysage en tout. Le problème de la campagne deviendra la tâche clé dans le futur. Le développement constant de l'agriculture, son industrialisation et la fuite permanente de la population rurale dans les villes influencent négativement le paysage habituel du village. Donc, pour son sauvetage l'État doit prendre les mesures urgentes.

Les parcs nationaux sont la meilleure réalisation de tout le système de la protection de la nature, leur zone centrale est fermée pour le peuplement par les gens. Six d'entre eux sont dans la France métropolitaine et un est sur la Guadeloupe. L'État s’occupe du problème de la construction de six parcs nationaux encore. Ils se trouveront dans la limite du massif montagneux du Mont-Blanc, sur la Corse, en Bretagne et la Guyane. Ces parcs, à la superficie globale  de 371 mille hectares, se rapportent à une soi-disante zone centrale et sont protégés d’une façon particulièrement stricte. Les parcs nationaux, à l'exception de l'île de Port-kro, sont disposés dans le pays de montagnes. Les parcs régionaux naturels, en quantité près de 30, sont disposés sur tout le territoire de la France : les montagnes d'Arres, les collines de l'Alsace,  de Gamargue, Brennes, Luberon et çaetera.

Ils occupent la superficie globale de 5020 mille hectares et insèrent les territoires de 2600 communes avec la population à 2 millions de français. L'État a l'intention d'organiser encore plus de dix parcs régionaux auxquels, à la différence des parcs nationaux, la législation admet une grande flexibilité: ils étaient créés non seulement en vue de la protection du milieu naturel, mais aussi pour le développement équilibré  de certaines branches de la production. Et enfin, l'État possède la multitude de reserves naturelles. 

Assez souvent ils deviennent le dernier refuge pour les  animaux et les plantes  en voie de  disparition. À présent le pays a 132 reserves naturelles et  encore près de 40 dans le projet. Les plus connus sont des pics Rouges dans les Alpes et le banc de sable d'Argent en Arсachon. 

La politique   qui concerne  les déchets : 

  1. en Russie

La formation des déchets est un procès permanent, qui accompagne inévitablement l'activité  vitale humaine.

Pour l'extraction des matières naturelles  des couches du sol , il est nécessaire de tirer une grande quantité des terres , qu'il est de l'usage  d'appeler comme les déchets de la production des minéraux. En outre la quantité considérable de déchets de l'enrichissement, les scories et d'autres aspects des déchets à cause du contenu limité du composant utile dans les matières premières tirées des couches profondes se forme en train de l'enrichissement et le traitement chimique des matières premières obtenues (dans nombre de cas faisant seulement quelques pour-cent ou même moins d’un pour-cent).

Les processus  technologiques du traitement des matériaux reçus des matières premières pendant la production industrielle ne sont pas sans déchets et sont accompagnés d’une formation de la quantité considérable de déchets des métaux et des alliages, des matières plastiques, des hydrocarbures, d'autres le matériau chimiques, de bois.

Enfin, toute la production fabriquée passe pratiquement entièrement  à la catégorie des déchets après son utilisation par les consommateurs dans la sphère de la production et des services, ainsi qu'en train de la consommation finale. Се sont les déchets de la consommation industrielle et de vie. À leur nombre se rapportent les ordures ménagères fermes, les déchets de l'emballage, les vêtements usés et les chaussures, les accumulateurs récupérés, les piles galvaniques et les tubes fluorescentes, ainsi que  les meubles, les appareils ménagers et les outillages, les maisons d'habitation les exclus de l'exploitation et les constructions industrielles, l'équipement industriel, les véhicules, les électrotechniques et les radiotechniques, les huiles et les liquides technologiques et etc.

La quantité considérable de déchets se forme dans des Stations d'épuration - industrielles et communales.

La Russie a la croissance stable quantitative des déchets, et aucunes des modifications  principales de cette tendance dans un avenir prévisible ne sont pas attendus. C'est lié évidemment à la croissance du volume de la production industrielle et au niveau de la consommation finale. Avec cela les déchets de la consommation grandiront plus vite, que les déchets de la production, à cause de la croissance dépassant la production de la consommation finale - en premier lieu les appareils ménagers, informatique et radioélectronique, les objets de l'usage domestique, les vêtements, les automobiles et etc. 

  1. en France

Tous les pays économiques développés ont la croissance continue des volumes des déchets de vie et  industriels. La part de la France est plus de 24 millions de tonnes d'ordures ménagères, et en outre pour les dernières 30 années leur masse totale plus qu'a doublé. Aujourd'hui chaque habitant du pays produit en moyenne 416 kg des déchets chaque année. En comparaison des communes de village la part des grandes villes et des régions industrielles est considérablement plus grande. Les ordures ménagères, généralement, se pressent et entrent sur les dépotoirs à ordures. Dès le 1 juillet 1992 les décharges acceptent seulement les déchets, qui sont inaptes pour l'utilisation secondaire ou la combustion: qui se contiennent dans les rejets de fumée, les cendres volantes et les particules fermes qui ont sursaturés des métaux lourds et de diverses substances toxiques.

Chaque jour les installations de la combustion des ordures suppriment 30 mille tonnes d'ordures ménagères. Sur les plus grandes d’elles les dépenses d'énergie sont remboursées par l'énergie thermique et électrique.  La tâche principale est la réduction du volume des déchets produits dans l'ensemble et d'utilisation des disponibles.

Le tri des déchets devient la tâche prioritaire dans le ménage. Pour cela les poubelles spéciales pour les ordures ou de grands containers étaient adaptées dans plusieurs communes, où le papier, le verre, les métaux non-ferreux et l'aluminium, la matière plastique, les huiles d'automobile et d'autres déchets s'amassent isolément. En France les meilleurs résultats étaient atteints dans le recyclage  des matières plastiques et du verre. En 15 ans le traitement du verre cassé a plus que doublé, et maintenant sa part fait 35 %. Dès le 1 janvier 1993 les propriétaires des établissements industriels sont engagés à financer ou à assurer la destruction des matériaux d'emballage, qu'ils livrent sur le marché. Il y a aussi une tâche de traiter vers 2002 75 % des matériaux d'emballage.

Dès 1996 chaque département doit élaborer le plan personnel de la destruction des ordures ménagères selon la loi du 13 juillet 1992. La loi se répand également sur les déchets industriels, dont le volume atteint 150 millions de tonnes.

Ils sont brûlés ou neutralisés par voie du traitement physique et chimique, et la moitié  d'eux subit d'inhumation sur un des 11 dépotoirs spéciaux et contrôlés. À partir de 2002 les voitures  déposent là-bas seulement les déchets finaux. Les nouvelles règles prévoient la création dans les endroits du traitement et du stockage des déchets des commissions locales pour l'information et la surveillance, où entreront des représentants des régions voisines et des associations publiques. Mais, malgré ces règles, les dépotoirs "sauvages" existent encore, où on jette les déchets secrètement.

Les nouvelles règles condamnent une pratique pareille, ainsi que l'importation au pays des déchets destinés pour d'inhumation. Le contrôle du transport des déchets dans la frontière est sérieusement intensifié. Le 1 avril 1993 l'État a introduit l'impôt sur d'autres déchets de vie, et le 2 février 1995 - l'impôt sur le traitement ou d'inhumation des déchets industriels au caractère  dangereux. 
 
 

La lutte constante avec la pollution du sol : 

  1. en Russie
 

En occupant le territoire vaste de l'Europe de l'Est et toute l'Asie Du nord, la Russie dispose du fonds agraire immense comptant 1709,8 millions hectares. Son tégument du sol est présentée par la multitude de différents types des sols - des déserts Arctiques et les toundras, les sols sablonneux du taïga et les marais jusqu'aux terres noires de forêt-steppe et de steppe, les sols de châtaignier, des semi-déserts bruns et salés, les bruns sols subtropicaux. De différents sols du nord occupent plus de moitié  du territoire de la Russie et la troisième partie environ sont les sols des paysages de montagnes qui sont très froides. La glace éternelle gît sur la moitié du territoire  de la Russie. Seulement le quart du fonds agraire dans un différent degré est favorable à l'agriculture, puisque dans les zones  septentrionales de bois il n'y a pas de quantité suffisante des chaleurs solaires.  Des températures journalières moyennes n'excédent pas 10 degrés sur ces territoires. Dans des régions continentales du sud il ne suffit pas d'humidité atmosphérique (moins de 400 mm par an). Les terrains agricoles occupent seulement 13 % du territoire de la Russie, mais les champs labourés occupent encore moins - seulement 7 %.  

Vers 2000 23 % des espaces agricoles et 27 % des champs labourés étaient  détruits, et 57 % des espaces agricoles et 65 % des champs labourés présentent désormais les terres érosives dangereuses. Soixante-dix millions hectares ont l'hyperacidité à cause de la réduction rude du chaulage des sols. Le désert anthropique s'est formé dans la région caspienne de la Russie. 

En tout le tégument du sol de la Russie à la fin du vingtième siècle s'est trouvée  dans l'état critique. Comme la suite de cet état la fertilité des cultures agricoles est tombée vers 1995 jusqu'aux niveaux bas : les céréales - 11,6, la betterave - 176, les pommes de terre - 66, les légumes - 82 quintal/ga. La collecte annuelle moyenne globale du grain a baissé des 104,3 quintal/ga à 1986-1990 jusqu'à 87,9 quintal/ga en 1995.

Seulement en 2001 la fertilité des céréales s'est augmentée en moyenne jusqu'à  18 quintal/ga - on a recueilli 85 millions de tonnes. Quel le rôle y est joué par la montée des conditions favorables atmosphériques ou les bonnes organisations des  travaux, il est difficile de le dire aujourd'hui. 

  1. en France
 

Les différentes substances – les microéléments des métaux, les microdoses des polluants organiques, les produits de vidange et de  désinfection, les moyens de  protection des plantes, les hydrocarbures et les agents radioactifs provoquent les pollutions du sol. Les métaux aux influences les plus dangereuses et durables sont le mercure, le plomb, le cadmium, le nickel et le chrome. Les pesticides, les herbicides, les fongicides et les agents germicides sont employés dans l'agriculture et causent partout un grand préjudice. La pollution du sol se fait sentir funestement sur les plantes, en amenant à l'accumulation à ceux-ci des éléments toxiques. En outre les produits chimiques qui se sont trouvées dans la terre peuvent provoquer la corrosion des communications souterraines. 

Au plus haut point les sols souffrent de la pollution dans des régions minières, dans les régions de l'agriculture intense, en même temps les sols, qui adhèrent aux autoroutes des prairies et les champs labourés, les terres, où les déversoirs des entreprises agro-industriels s’accroissent. En 1998 le Ministère de l'Environnement a révélé 896 terrains pollués. En 1999 ils étaient mis au traitement et on a découvert encore 226 nouveaux terrains pollués. La grande partie de terres polluées se trouve dans de grandes régions industrielles, en particulier dans le Nord-pas-de-Calais, sur l'Ile-de-France et dans les Rhône-Alpes.

Ce programme soulève les problèmes de l’humanité dans le domaine de la protection de l'environnement, et oriente la communauté internationale vers  leur solution.  

La pollution du sol a exigé l’élaboration des méthodes spéciales de son régénération  et  sécurité. Certaines d’entre elles consistent à la localisation des substances polluantes dans des dépôts et des puisards. Ce procédé n’extermine pas les toxines, cependant il empêche leur propagation dans l’environnement naturel. La vraie lutte avec des polluants – c’est leur liquidation. Les services spéciaux exterminent sur place ou emportent les produits toxiques dans les stations spéciales centralisées sur leur traitement et  neutralisation. Sur ses lieux les  procédés différents sont utilisés: le brûlage des hydrocarbures, le lavage des sols contaminés avec les solutions minérales, l’élimination des substances polluantes dans l’atmosphère et même les méthodes biologiques, si la pollution est éveillé par des substances organiques. L’agence de l’environnement   s'occupe des tout ça. 
 
 
 
 

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